| | | Eloyse D.Commington // La sérénité dans le désordre est un signe de perfection. |  |
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 Eloyse D.Commington
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 | | Sujet: Eloyse D.Commington // La sérénité dans le désordre est un signe de perfection. Sam 2 Oct - 13:30 | |
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 Eloyse Dixie COMMINGTONLes gens qu'on aime ne changent pas.Bonjour, je suis Eloyse D.Commington. Cette année, je vais fêter mes 23 car je suis née le 31 Décembre 1988, à Ottawa city. Je suis de la royautée. Si vous voulez être curieux, je peux vous aider. Dans la vie, je suis étudiante en droit. Mais sinon, je peux aussi faire du chopping, jouer du piano et guitaret, jouer a chat ? 0=D J'aime la mode, rêver, avoir raison et euh... Lui . Et si vous êtes de vrais fouineurs, ma situation de coeur est celibataire. J'ai satisfait votre curiosité? Je suis comme je suis...
MALHEUREUSEMENT, VOUS NE ME CHANGEREZ PAS. Venez nous racontez votre vie, depuis votre naissance, jusqu'à ce qu'aux jours d'aujourd'hui. Vous devez le faire en 30 lignes. Vous voulez en savoir plus?
FAUDRA ME POSER LES BONNES QUESTIONS. Qui suis je?
 Darkdreams Prénom:Eden Âge:19ans Star sur l'avatar: Lucy Kate Hale Comment vous avez connu le forum: Etait sur Next Story Code du règlement et du contexte: "Bienvenue" Votre personnage est-il un scénario, un PV ou un personnage inventé:Scénario | |
Dernière édition par Eloyse D.Commington le Ven 8 Oct - 0:26, édité 3 fois |
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Eloyse D.Commington
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| | Sujet: Re: Eloyse D.Commington // La sérénité dans le désordre est un signe de perfection. Sam 2 Oct - 13:32 | |
| Je suis comme je suis...
MALHEUREUSEMENT, VOUS NE ME CHANGEREZ PAS. On sait tous que la vie est courte, qu'elle finira un jour ou l'autre. Je sais ca, je le sais très bien ! Mais qui y aurais cru ?! Je ne m'attendais pas à ce que ca vie soit aussi courte ! On dit souvent que les meilleurs partent les premiers... C'est vrai.
Y en a marre de ces "on" ! Qui sont-ils pour donner un avis général de la vie ? Qui sont-ils pour me dicter la mienne ?!
Ma vie a basculé le 13 novembre 1999 un jour comme un autre pour vous. Pour moi il fut le jour le plus noir de mon existence. Et ses "on" n'y changerons rien ! Qui aurais cru que que ca puisse arrivais un jour ?!
"Lizzy - Maman, maman réveille toi c'est l'heure !
Louise - Hum ! ...
Lizzy - Mais aller !! Debout !
Louise - Oui, oui j'arrive ! "
Louise phillipa Commington (alias maman) était allongée dans sont lit, les draps ramener au dessus de ca tête pour protéger ses yeux du soleil matinal. Andres William Commington (alias mon père) était déjà parti au travail, laissant ma mère toute seul dans sont lit. Je ne sais pas si ils avaient encore des relations et à vrais dire, je n'avais pas vraiment envie de le savoir.
Papa n'est pas souvent à la maison, voir quasiment jamais. Il a une très haute place dans la société et est souvent en déplacement pour affaires. Je dois dire que l'absence de mon père ne me touche pas vraiment. Nous n'avons jamais était proche et ne le serions jamais. C'est sans doute pour ça que j'ai tissée des liens très forts avec ma mère.
Louise retira le drap de sont corps dévoilant une légère robe de nuit noir a dentelles, mettant sont teint laiteux en valeur. Ses cheveux descendait sur sont épaules en une natte noir en bataille. Ma mère à toujours était une belle femme. Ma famille du cotée maternelle la surnommer blanche neige car sa peau était d'un blanc immaculée, mais ses cheveux d'un noir de gai. Ce qui a toujours fait la jalousie de certaines. Pas que par ça beauté, mais aussi parce qu'elle était française. Sachons bien que la France dans n'importe qu'elle pays et la sophistication incarnée et ma mère en était un model parfait. Malheureusement je n'ai pas irrité de ma beauté. Enfin ses cheveux peut être, mais le reste je le dois à mon père. Car on ne peut pas dire qu'il soit une gravure de mode. De mo point de vue il est monsieur tout le monde et a pris du poids avec la vieillesse. Je me suis toujours demander ce qui relier ma mère et mon père. Il n'est ni beau, ni intelligent. C'est un homme qui ne pense qu'à lui, mais qui a beaucoup d'argent. Au début je me disais que ce devait être ça ! "L'argent". Mais apparemment non, elle l'aimait et moi le détestais de la rendre aussi triste.
Louise - Eloyse Dixie Commington !! Je te prierais de ne pas réveiller ta vielle mère comme ça !
Lissy - Mais maman on va être en retard si tu ne te lève pas. Faut pas que je sois en retard….
Louise - Ma chérie ca te montre trop à la tête ce premier rôle. Laisse mon encore un peut dormir.
Lizzy - MAMAN !! Allez !!!
J’attrapai la main de ma mère avant quelle ne ce rallonge et la tira hors du lit. Nous descendions main dans la main à la cuisine. Nous nous n’avions pas comme mes cousins des serviteurs pour faire tout à la maison. Maman partait du principe que si nous ne nous faisions rien nous même nous ne serions jamais dépendant. C’est pour ca que je ne côtoyais pas beaucoup ma famille. Louise disait qu’ils avaient une influence néfaste sur notre famille. Elle n’avait jamais supporté que « Mon oncle » comme elle disait tout le temps, donne un travail important à mon père.
Elle prit un bol dans le placard et y versa du café qu’elle mit au micro onde. Je m’assis sur un siège pour l’observer, mon passe temps préférait. Sont visage avait encore des traces d’oreiller. Ses gestes étaient d’une souplesse et d’une fluidité parfaite. Elle pausa sont bol devant moi.
Louise - Tu as déjeunée ?
Lizzy - Oui ! Tu va mètre qu’elle tenue ?
Louise - Hum … Laisse moi prendre mon déjeuner après on verra.
Lizzy - D’accore.
Je descendis du tabouret, fit le tour de la table et embrassa ma mère avant de quitte la pièce pour préparer mes affaire de danse. Je ne devais rien oublier sinon je serais interdit de ballet. Je n’aimais pas vraiment la danse, c’était juste pour faire plaisir à maman. Moi ce que je préférai c’est les instruments de musique, maman aussi adorait ca. D’ailleurs à chaque fois quand je jouais, elle s’asseyait à coté de moi pour m’écouter calmement. Quelques fois une larme glisser le long de ses joues, mais je ne lui disais jamais rien. Je savais que c’était à cause de papa.
Mes affaires prise je fis mon chignon parfaitement sans cheveux qui dépasse. Les personnes engageaient d’habitude pour nous le faire, ne ce lavaient jamais les mains entre chaque tête. Ce qui était assez honteux pour une école de danse de ce niveau. C’est comme ca que j’ai appris à les faire. Comme ca personne ne pouvait plus toucher à mes cheveux une fois placé correctement, comme la règle des petits rats le stipuler. De plus je fis mon teint comme maman me l’avait appris pour ne pas briller sur scène. Puis mis un rouge à lèvre légèrement rose et un blush de la même couleur. J’étais prête pour aller aux répétitions. Je mis en vitesse mon maquillage dans mon sac lorsque la voie de maman résonna dans le couloir.
Louise - Dixie !! Mon ange, descend on y va !
Lizzy - J’arrive man’ !
Je me regardais une dernière fois dans le miroir avant de descendre mon manteau beige sur le dos. Je rejoignis ma mère dans la voiture qui m’attendait devant l’allée. J’ouvris la portière et m’inséra dans l’auto.
Lizzy - Tu crois que papa viendra me voir cette fois ?
Louise - Mais oui mon ange ! Tu fais un solo. Ce n’est pas tout les jours que ca fille chérie et une star. Je lui intimerais l’ordre de venir.
Louise et moi s’avions très bien qu’il n’allait pas venir. Mais a chaque fois nous espérions qu’il s’occuperait un peut de ca famille.
Maman me déposa juste devant la porte du théâtre. Elle m’embrassa sur le front puis sur les deux joues. C’était notre petit rituel pour nous portait chance depuis ce jour je ne l’ai plus jamais refait….
Descendant à grande peine de la voiture, je couru vers l’entrée de théâtre, en adressant un signe de main à ma mère qui partait. Je suivie mon cours de danse comme tout les jours avec la pression du grand soir en plus qui pesait sur nos frêles épaules mes camardes et moi. Le soir venue, maquillée et apprêtée, nous guettions l’arriver de nos parents. Une heure plus tard mes parents n’étaient toujours pas là. Venant de mon père cela ne m’inquiéter pas tellement, mais ma mère ! A moins qu’elle m’ai fait une surprise, je ne comprenait pas… Trop tard pour attendre encore, notre professeur nous appela déjà pour rentré en scène.
Je fis ma danse exactement comme prévue voir même mieux. La pièce avait remportait un réelle succès. Je sortie des loges avec mon sac et mon bouquet de fleur à la main. Je riais avec les filles nous nous disons qu’on aurait était heureuse de recommencer. Jusqu'à ce que Madame Gentry cours vers nous. Elle m’agrippa par le bras et m’entraina vers un homme géant en costume.
Madame Gentry - Ton père ma dit…de … de te confier cet homme… Il te conduira à l’hôpital. Soit forte Lizzy Et … Toutes mes condoléances ma chérie….
Lizzy - Quesque ? Qui est mort ?
Dernière édition par Eloyse D.Commington le Mar 5 Oct - 23:55, édité 6 fois |
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Eloyse D.Commington
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| | Sujet: Re: Eloyse D.Commington // La sérénité dans le désordre est un signe de perfection. Mar 5 Oct - 17:51 | |
| Je suis comme je suis...
MALHEUREUSEMENT, VOUS NE ME CHANGEREZ PAS. Madame Gentry n’eu pas le temps de répondre à ma question. Elle ouvrit la bouche puis la referma me voyant déjà franchir la porte. L’homme en costume noir me pris par la main et m’entraina vers sa voiture. Je n’avais pas eu le temps de mètre mon manteau et le vent de cette nuit était glaciale. Ma jupe gris claire fouetter mes jambes à chaque pas que je faisais. Mes joue était d'un rouge pivoine irriter par le froid.
L’homme était tellement grand que j’étais obligée de courir à cotée de lui pour le rattraper.,Ses enjamber faisait au moin trois pas de plus que moi. Un Geant rien que ça !
J’avais l’intention de monter à l’arrière comme à chaque fois que je montais dans la voiture d’un des sbires de mon père. Mais celui-ci m’ouvrit la portière avant, ce qui me choqua sur le coup. J’hésitais à entrer, mais d’un coup de main dans le dos, il me poussa dans la voiture. Il contournât la voiture pour s’assoir à sont tour, à cotée de moi.
Lizzy - On va où ?
L'homme - A l’hôpital comme ta dit ta prof.
Lizzy - Pourquoi ?!
L'homme - Quelqu’un est mort
Lizzy - Quelqu’un d’important ? C’est pour ca que maman elle n’était pas là ? Elle ne voulait pas me faire louper mon spectacle, c’est ça ?! Hein dites c’est ça ? C’est qui ?!!
L'homme - Veux-tu bien arrêter de parler.
Lizzy -Je veux savoir !!
L'homme- Tu verras là bas.
Pour m’empêcher de protester une fois encore, il mit de la musique dans la voiture et mit le volume à font. C’était tellement fort que je dus me boucher les oreilles. Voyant qu’il n’allait vraiment rien me dire, je cala ma tête contre la portière de la voiture.
Le géant conduisait vite ! Trop vite ! Tellement vite que j’en avais les mal des transports. Nous avons grillé un feu rouge, ainsi que passer sous le nez de deux voiture, roulez et pour couronner le tout, sur les trottoirs manquant de peut deux piétons. A la fin nous étions quand même arriver saint et sauf. Enfin moi j’avais failli me faire pipi dessus. Il descendit de voiture pour m’ouvrir.
L'homme - Dois-je vous emmener ou je peux vous laisser là ?
Mon regard voulait sans doute tout dire. Car il me prit par les épaules et m’entraina dans l’hôpital.
L’hôpital, sans doute l’endroit le plus horrible au monde. L’odeur qui flottai dans l’air me donna la nausée. Le sbire de mon père me tenait par les épaules ou plutôt me retenait pour ne pas que je m’effondre. Il m’emmena jusque dans la morgue. Devant la porte 66 un médecin nous attender. Je lu de la surprise dans sont regard quand il posa les yeux sur moi.
L'homme - Je ne lui ai pas encore dit
Le médecin - Où est sont père ?
L'homme - Il a dit que c’était à elle de reconnaitre le corps
Le médecin - Mais c’est une enfant. cC va la traumatiser toute ca vie. Vous n'etes pas sérieux qand même ?!
L'homme - Faite ce qu’il dit. Lui ne viendra pas en tout cas. Il n’a pas que ca à faire.
Le médecin - Vous étes un homme horrible. Il s’agenouilla devant moi et me pris par les épaules. Dit ma petite aurais tu une photo de ta maman ?
Lizzy - Non …
Le medecin - Bon .... Alors tu va être très forte. Ta maman a eu un accident de voiture ce soir … et … comment dire ….
Il n’eut pas besoin de finir sa phrase que j’avais déjà tout compris. L’absence de ma mère et la personne morte était lier. *Maman ! Maman non !!* J’avais envie de le crier. J'aurais du les crier. Mais aucun mot ne sortait. Les larmes coulaient sur mes joue noyant mes yeux et mon visage. Mes jambes ne me tenait plus, ma peau était d'une pâleur spectrale et mes lèvres ! Mes lèvres bleu glacier. Si le géant n’avait pas était là, je me serais effondrée. Peut être aurait-il dut partire. Aprés tout qui pouvais bien s'occuper de choses insignifiante comme moi et ma mére. Maman... Ma douce maman ... Celle qui ma donner la vie qui a toujours était auprés de moi. Qui ma soutenue le long de ses 12 années. Elle avait quittée cette terre en me laissant toute seul, en m'abandonnant dans ce mon sans pitier. J'avais froid très froid. J'était comme dans une sorte de transe le noir ce fit autoure de moi je ne contrôler plus rien. Ni mes sanglos ne mes larmes ni mes mouvement...
Je n'ai pas trop compris ce qui c'était passer après. Je me suis réveiller dans une chambre de l'hôpital de lendemain matin. Il m'avait drogués je le santait a l'éffet coton autour de moi. Sans doute pour me fait tenir tranquille. La piece était silencieuse. Comme si le jours davant n'avait était qu'un mauvais rêve, mais l'incomfortabilité du lit me prouver bien c'était réel. La porte souvri d'un coups sur ma tante. Elle me regardait les yeux imbiber de larme. Ma mère et elle était très proche, comme des soeurs. Elle sembleait sincèrement désoler pour moi. Elle avait été appelée pour reconnaître le corps de Louise. Enfin c'est ce qu'elle ma dit en s'asseyant à mes cotés. Elle me raconta que mon pere n'avait pas pu venir, car il avait beaucoup de travail. Ah ! Mon père ! Toujours à travaillé sur ses dossiers. C’est de sa faute si tout ça est arrivé. Tout ça est de sa faute ! Si il avait était là ce serait lui qui aurais conduit pour venir me voir. Ce serait lui qui serait mort ! Ce serait lui et non maman ! Pourquoi ce n’était pas lui à sa place ?! Elle n'avait rien demander elle ! Maman... ma maman la seul personne qui c'est occuper de moi qui ma aimer comme nul autre. Pourquoi elle ? Pourquoi tu m’as abandonné maman ? Pourquoi ?! Mais bien sur que pouvais-je changer à tout ça ?
Tantine s'embler effreyer que je pleure. Car oui je pleurais. Je m'étais endormie en larme, j'avais dormie en larme et je m'étais reveiller en larme. Elle me raonta aussi que j'avais essyer de m'échapper de l'hopital et que n'y arrivant pas, j'avais esseyer de me sucider avec le couteau que j'avais piquer dans le menteau du sbire de mon pére. Sur ceux elle s'en alla me laissant pleurais dans mon coin. Je suis rester plus deux mois dans la partie psycatique de l'hopital car à chaque sorties j'essayais de me tuer. Mais comment voulais vous vivre alors que vous savez que personne ne pense a vous. Appare la DASS. Qu'auriez vous fait à ma place ? Hein ! Qu'auriez vous fait ?
Dernière édition par Eloyse D.Commington le Mer 6 Oct - 20:27, édité 8 fois |
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| | Sujet: Re: Eloyse D.Commington // La sérénité dans le désordre est un signe de perfection. Mer 6 Oct - 0:00 | |
| Je mis pied à terre sur l'asphalte. Le soleil n'était pas au rendez vous. Quelques gouttes tombées du ciel s'écrasant sur ma peau blanche. Au loin, un édifice ressemblant à un château ce dressait devant mes yeux. Cet Architecture allé être mon lieu d'habitation jusque ma majorité, malheureusement.
" Lizzy - Alors c'est ça le palais.
Andrés - Oui c'est ca. Mais... Mais .... Tu parle maintenant ! "
Pour une fois qu'il remarquait qu'elle que chose celui là. Ce sera ma seul phrase de la journée. Cela fessait déjà quelques mois que je ne faisais plus de phrases. Il n'y avait que des mots qui sortaient de ma bouche ou des onomatopées. A vrais dire je ne voulais parler à personne. Je ne supportais plus de voir tout ses gens. Je les haïssais du plus profond de mon être. C'est en partie ce qui ma value d'aller en hôpital psychiatrique. Bon c'est vrais, il y a eu mes tentatives de suicides répéter qui passe bien avait tout ca.
J'étais resté sept mois enfermé dans une chambre blanche. Je n'ai ni parler aux infirmières, ni aux médecins et les personne que je connaissais, je ne leur répondais que pas oui ou non. J'avais perdue tout sentiment. Comme dirait les infirmières, je me suis renfermé sur moi pour soulager mes souffrances. Mais je ne pense pas que ce soit ca...
Mon géniteur ne pouvant s'occuper de moi avait décidé de me confier a sont frère. Le nouveau roi. Car pendant mon enfermement Sa majesté Mr.Commington à décider de reprendre le titre qui lui était dut détrônant Mr.Harrington de sont poste de président. Après pour le reste je n'en savais pas plus. C'est ca d'avoir était emprisonner pendant tout ce temps...
Andres - Allez viens on y va.
Pas un mot de plus. Il me prit par le bras et m’emmena de force dans le bâtiment. A l’entrée deux servant nous accueillir. Elle avait l’air gentilles. Les pauvres qu’es qu’elle devait endurer avec un roi comme ca !
Nous passion de couloir en couloir sans nous arrêter. Si Andres m’avait laissé là, je ne sais pas si j’aurais retrouvé la sortie. Le palais était tellement grand qu’il en devenai
t un labyrinthe. Au fil des années je m’y suis habituer, mais il y a des salles ou je n’ai encore jamais mis les pieds. Pas flemme ou maque de curiosité je ne sais pas trop.
Nous somme passer devant mon cousin et mes cousines. Seul mon cousin fit attention à moi. Ce qui me réchauffa le cœur. Encore au moi une personne me voyait. Cette marque d’attention je lui revaudrais tout ma vie. Nous avions continué notre chemin comme ca, jusque dans une chambre à l’écart de la famille royal. Ce sera mes quartier pour les 10 ans avenir voir même plus.
J’ai recommencé à parler 1 ans après grâce au contacte de Camille. Quant à ma relation avec mes cousines… Hum je n’arrête pas de ma chamailler avec Manon, mais avec Myriam je ne sais pas trop a quoi m’en tenir. A voir au fil des années.
Ca fait 10 ans maintenant que j’ai introduit ma famille adoptive. On ne peut pas dit que ca me plaise vraiment, mais je n’ai pas le choix. Je ne suis pas une gentille fille comme je le prétend a leurs yeux. Je me drogue je ne suit pas très bien en cours et je sèche ce qui ne plait pas vraiment a mon géniteur. Mais à quoi bon lui faire plaisir, alors qu’il ne s’intéresse pas à moi. Heureusement qu’il y a Camille mon cousin adorait et Aldo. Même si je ne sais pas trop pourquoi il m’évite, je pense que le fait qu’il m’attire me permet de remonter un peut à la surface… Et j’oublier heureusement qu’il y a le shopping sinon je serais perdu.
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 Lorenzo Castaglio Admin skip: petit et puissant <3
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| | Sujet: Re: Eloyse D.Commington // La sérénité dans le désordre est un signe de perfection. Ven 8 Oct - 0:26 | |
| Welcome !! Tu es validée of course ! ^^ |
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Eloyse D.Commington
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| | Sujet: Re: Eloyse D.Commington // La sérénité dans le désordre est un signe de perfection. Ven 8 Oct - 0:30 | |
| Thank you =D C'est partie pour le Rp ^^ |
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| | Sujet: Re: Eloyse D.Commington // La sérénité dans le désordre est un signe de perfection. | |
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| | | | | | Eloyse D.Commington // La sérénité dans le désordre est un signe de perfection. | |
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